Sujet: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 13:21
(c) microwave
the start Nom et prénoms : Elias Hastings. Son nom de famille est celui de sa mère, car elle-même ignorait totalement l'identité de l'homme qui l'avait mise enceinte. Elias a sans doute été également choisi par elle, mais il n'a jamais prit la peine de poser la question à quelqu'un. Pour lui, ses parents n'existent pas. Lieu et date de naissance : Il ignore quand et où il est né - il a simplement l'impression d'être né en plein hiver, il y a moins de vingt ans. Profession/études : Elias a entamé des études de psychologie il y a un an, bien qu'il ne pense pas continuer dans cette voix - il attend d'avoir achevé ses trois ans de psycho pour pouvoir s'orienter en criminologie. Même si c'est très peu, surtout pour financer ses études, il a décroché un petit boulot de marchant de glace. Groupe : Orphelins.
the end of something important Pseudo : APPLESTORM. Avatar : Jamie Dornan. Où avez-vous trouvé le forum ? Bazzart. Commentaires ou dédicaces :
Dernière édition par Elias Hastings le Dim 22 Aoû - 16:44, édité 6 fois
Elias Hastings
Messages : 16 Emploi/études : Étude en psychochologie, pour pouvoir déboucher ensuite sur la crimino.
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 13:21
just tell me something
→ Elias a horreur des animaux - allez savoir pourquoi. Enfin, disons que pour les chiens, les chats, les têtards, et les poissons rouges, ça passe, mais n'allez pas l'emmerder avec des moutons, des chevaux, des lions, des singes, des dinosaures et que sais-je encore. Il n'a jamais compris cette adoration qu'avaient certaines personnes pour ces peluches disproportionnées et pleines de poils. → Il a découvert à l'âge de huit ans qu'il était atteint d'un diabète de type A. Il se souvient encore parfaitement du jour où un des employés de l'orphelinat l'a emmené chez le médecin - il se souvient encore avoir eu peur ce jour-là. Au fil du temps, il ne prête quasiment plus attention à ses piqures quotidiennes - et les autres enfants de l'orphelinat non plus. → Elias ignore a quel âge il a atterri à l'orphelinat, tout comme il ignore son âge, son anniversaire, le nom de ses parents. Mais à vrai dire, il s'en fiche pas mal. À ses yeux, les deux personnes qui l'ont conçus sont totalement inexistants. Il n'a jamais essayé de retrouver leur trace, ni même de glaner quelques informations sur eux ou sur le maigre passé qu'il a passé avec sa mère. En réalité, les seuls personnes qu'il considère comme sa famille sont tous les mômes qui vivent avec lui depuis toujours. Il ne se l'avoue pas, mais le jour où il devra quitter l'orphelinat, il sera tout bonnement mort de trouille. → Bien qu'il soit ouvert d'esprit et très tolérant, Elias ne conçoit absolument pas la possible existence de dieu - il ne lui accorde d'ailleurs même pas de majuscule. Il réfute catégoriquement le fait qu'une bonne action soit l'œuvre de l'homme et que toutes les horreurs que vivent certaines personnes, certaines populations ne soit dût qu'à un dieu. Il trouve ça lâche et pathétique. → Elias est du genre hyper-myope. Il ne reconnaît personne à plus de deux mètres, sans ses lunettes. Il a pourtant prit l'habitude de porter des lentilles de contact, car il prétend que ses lunettes lui font mal au nez. → Le jeune homme n'est encore jamais tombé amoureux de sa vie et d'après tout ce qu'il a lut, ce qu'on lui a raconté, ce qu'il a vu dans les films, sur l'amour, il n'est pas pressé que ça arrive. → Les chansons With Me de Sum 41 et Otherside des Red Hot Chili Peppers, le font pleurer. Ses groupes préférés sont les Red Hot Chili Peppers, Arctic Monkeys et Kings Of Leon - quant à son film favori, il s'agit de Requiem For A Dream, il l'a vu plus de soixante fois. → Il a toujours, toujours, toujours un briquet sur lui, bien qu'il soit non-fumeur. Il a juste le mauvais réflexe de faire cramer des brins d'herbe, des feuilles, et autre. → Il a souvent les doigts qui saignent, tellement il se ronge les ongles - qu'il soit stressé ou non. Il a beau chaque fois se coller du produit dessus pour essayer d'arrêter, il ne peut pas s'en empêcher.
Dernière édition par Elias Hastings le Dim 22 Aoû - 16:36, édité 4 fois
Elias Hastings
Messages : 16 Emploi/études : Étude en psychochologie, pour pouvoir déboucher ensuite sur la crimino.
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 13:21
where everything take place
« Lilou. » Hmm. La jeune fille aux beaux cheveux châtains bouclés assise au pied de la table basse redressa légèrement la tête, bien qu'elle fut captivée par le magazine qu'elle était entrain de feuilleter. Le visage de sa sœur était tendu, inquiet, méprisant, triste. Ses propres traits trahissaient le stress que sa décontraction feinte ne parvenait pas à masquer totalement. « Lilou, pourquoi ? » s'écrièrent désespérément les yeux de la brune qui se tenait face à elle. Le cœur de Lilou manqua un battement. Elle avait été idiote de croire qu'elle pouvait cacher quelque chose à sa sœur. Bien qu'elle eut tout fait pour réprimer son envie de hurler au cours de ces trois dernières semaines, une larme naquit au creux de son œil, traîtresse, vicieuse. « Je suis désolée, Nora. Je suis tellement désolée... » Sa voix heurtée de sanglots qui ne tarderaient pas à suivre ne suffit pourtant pas à attendrir la jeune femme. Au contraire, son visage se durcit, et son regard était fixé sur Lilou, une lueur de pitié dans les prunelles. « Je ne sais pas, je ne sais plus ! Je ne me rappelle pas... » C'était, à vrai dire, ce qui la terrifiait la plus. Elle avait calculé qu'elle devait être enceinte depuis à peu près un mois. Un long mois. Suffisamment longtemps pour qu'elle parvienne à oublier le soir où elle s'était retrouvée allongée dans la rue, sans sac, sans portable et sans souvenir de ce qu'elle avait fait, où et avec qui, les trois heures précédentes. Si ses parents, oh, si ses parents savaient... Comme si elle avait lut dans ses pensées, Nora lui lança froidement : « Et papa et maman ? » Elle n'exposa pas le fond de sa pensée, cependant. C'était inutile. Elle savait. Elles savaient. Machinalement, Lilou leva les doigts jusqu'au pendentif en forme de croix qu'elle portait, et se mit à le tripoter nerveusement. Toute sa famille avait toujours été on ne peut plus croyante. Même si par miracle, ses parents ne succombaient pas d'une crise cardiaque lorsque, trahie par son ventre rond, elle devrait leur avouer la vérité, ils refuseraient catégoriquement qu'elle mette un terme à cette grossesse. Elle-même avait été éduquée trop strictement que pour penser ne serait-ce une seule seconde à leur mentir. Tout comme elle était trop religieuse que pour avorter - c'était contre tous ses principes. « Nora, qu'est-ce que je vais faire ? Je n'ai que quinze ans... » D'un revers de manche, elle essuya ses joues trempées et renifla. Un instant, elle resta immobile, avant d'éclater à nouveau en sanglots. Anéantie, elle se traîna jusqu'à sa sœur, et enfouit son visage dans ses genoux. Nora lui caressa doucement les cheveux - on aurait put la croire pleine de sollicitude si ses gestes n'avaient pas été emprunts de tant de dureté. Lilou était sa petite sœur, elle l'aimait, certes, mais elle avait faillit. De longues minutes passèrent, le silence uniquement ponctué de sanglots étouffés. Lorsque Nora sentit que les épaules de sa petite sœur ne tressautaient presque plus, elle la prit par le bras, lui redressa le menton. « Je vais t'aider, Lilou, ne t'inquiète pas. Je suis là. » Elle se pencha, et déposa un baiser sur son front, telle une promesse.
Le garçon lisait tranquillement, assis sur son lit. Comme souvent. Presque tout le temps, en réalité. Il avait beau être là depuis longtemps - et avoir donc sympathisé avec presque tous les autres orphelins -, il avait beau être extraverti, il aimait se retrouver seul avec lui-même. Doucement, trop petits coups se firent entendre de l'autre côté de la porte. En relevant, il aperçut une employée entre deux âges au visage bienveillant, qu'il avait toujours apprécié, et qui l'avait toujours apprécié. Miss Montgomery. Il lui sourit et, comme si c'était là le signal qu'elle attendait pour bouger, elle s'approcha. Manifestement, elle avait quelque chose de serré entre ses doigts. « Bonjour, Elias. On peut discuter un instant ? » Il acquiesça en refermant son livre et se recula vers le mur pour lui laisser de la place sur le matelas. Lentement, elle se laissa tomber à ses pieds et le couva du regard. Dès qu'il était arrivé - il avait à peine quelques semaines - elle avait tout de suite été captivée par ses beaux yeux, pareil à deux mystères. Longuement, elle l'observa, se questionnant toujours sur le bienfondé de ce qu'elle allait faire. « Bien sûr. Squisspass ? » De sa main libre, elle attrapa l'une de celles du jeune garçon et y déposa l'objet qu'elle serrait. Étonné, il avança son nouveau bien vers son visage. Une petite croix en argent était accrochée à une longue chaîne. Quelle ironie. Il haussa les sourcils, perplexe. « Je sais que tu ne t'intéresses pas à ce qu'ont put devenir tes parents biologiques, Elias, mais j'ai fais une promesse que je me dois de tenir, aujourd'hui. » Son regard fiché dans celui de la femme, il attendit. « Ce pendentif appartenait à ta mère. Elle me l'a laissé en même temps qu'elle t'a déposé ici. Elle avait quinze ans à l'époque, et pas grand chose à t'offrir de plus. Elle voulait que je te transmette ce présent, le jour où tu serais assez grand pour comprendre qu'elle n'avait pas le choix... » À son expression, Elias aurait presque put croire qu'elle défendait cette femme qui l'avait abandonnée à peine né - il tenta de se persuader du contraire, pourtant. En réalité, le cynisme de la chose l'empêchait d'en vouloir à Miss Montgomery. Tout ce que sa chère mère trouvait à lui refiler, à lui, l'athée, à lui, qui avait toujours refusé l'existence d'une quelconque entité supérieure, c'était le signe de sa bonne foi. Il faillit éclater de rire. C'était tellement con. « C'est gentil de votre part, Miss, mais je ne veux pas de se collier. Il représente tout ce que je ne suis pas. » Appuyant ses dires, il tendit le bijou vers elle, l'incitant à le reprendre. « Gardez-le. » Il laissa tomber le pendentif dans la main ouverte de l'employée et, presque aussitôt, se replongea dans son roman, sans rien ajouter. La discussion était close. Tout comme le chapitre. Enfin, il était libre.
Dernière édition par Elias Hastings le Lun 23 Aoû - 14:33, édité 27 fois
Red Hildmann RED ☂ The sweetest sadness in your eyes, clever trick.
Messages : 159 Humeur : Maussade, ou comme une personne ayant le coeur brisé. Emploi/études : Elle débute dans le journaliste. Statut : Célibataire depuis peu, c'est sans doute mieux ainsi.
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 13:26
Bienvenue. Un autre Luke Grimes c'est inscrit. Donc je vous laisses discuter entre vous et si vous ne parvenez pas à une entente, cela sera la meilleure fiche qui aura l'avatar.
Elias Hastings
Messages : 16 Emploi/études : Étude en psychochologie, pour pouvoir déboucher ensuite sur la crimino.
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 14:09
Merci vous deuuuux J'ai finalement laissé Luke à Addonis, pour choisir Jamie Dornan à la place, et celui-là je compte bien le garder Bien sûr que t'oses, je peux rien refuser à la bouille d'Emily.
(edit : d'ailleurs, ce serait vraiment sympa de changer l'avatar, dans mon profil, parce que je ne peux pas le faire. )
Dernière édition par Elias Hastings le Dim 22 Aoû - 14:11, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 14:09
MON APPLEEEEEEEE ! T'es orgasmique en Dornan Bienvenue donc, même si tu es arrivée avant moi (a), et garde-moi un ptit lien aussi, hein ?
T. Bill Crakit NOT A HERO ☂ we are the beautiful ones. turn your backs to the cold winds.
Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Dim 22 Aoû - 14:17
PUTAIN j'adore ton début de fiche, bienvenue !
Red Hildmann RED ☂ The sweetest sadness in your eyes, clever trick.
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Sujet: Re: ELIAS ♦ there's no power - just freedom. Lun 23 Aoû - 14:34
Merci, merci. pas de problèmes, sweetheart, je me réjouis de voir ça. Je signale donc que j'ai terminé ma fiche. C'est pas du grand art mais j'espère que ça ira quand même.